



Depuis quelques temps, la ferveur de la présidentielle de 2016 enflamme l'archipel des Comores pour le futur locataire de Beit-Salam. Les dés sont lancés et sans aucune surprise, la rue a déjà désignée les hommes susceptibles de remporter la primaire. Quoi que l'on dise, le tiercé est bel et bien connu pour les observateurs politiques mais aussi du simple citoyen. Certains diront que les législatives reflèteront la physionomie du parti majoritaire mais on sait tous que l'absence des partis politiques structurés aux Comores et l'infidélité notoire des députés envers les partis qui les ont souvent choisis au hasard font que cette consultation est un non évènement d'autant plus que tout est mise en place pour une fraude massive au profit du clan du président en fonction, Ikililou Dhoinine. Mais un proche de Said Larifou nous confiait que « On ne jugera pas Ikililou Dhoinine en fonction du nombre de députés qu'il aurait engrangé mais plutôt de la transparence de celle-ci et il rajoute que c'est un test nécessaire avant 2016 car s'il y'a fraude, il faudra une présence militaire étrangère pour sécuriser cette compétition cruciale ». Deux hypothèses se posent : - Si les élections ne sont pas sécurisées, ce sera le candidat de Beit-Salam qui l'emportera à l'image d'Ikililou Dhoinine dont Sambi a porté au pouvoir et trahit dès le lendemain. Bien sûr qu'il y'a eu un contrat moral entre les deux hommes et l'homme de Djoiezi devait respecter ou refuser comme jadis, Caambi El Yachourthui a eu l'honnêteté intellectuelle de dire « Non » à Azali Assoumani. Mais cette attitude relève tout simplement de la traitrise. - Si les élections sont sécurisés comme en 2006 par le biais d'une force étrangère, il y'aura un combat juste et transparent mais dont les vainqueurs sont déjà connu à l'avance. Et le trio gagnant est selon les enquêtes de la rue menées sur le fondement des discussions sur les places publiques et les taxis brousses : Maître Said Larifou,avocat des deux mineurs accusés de viol va porter plainte. Said Larifou, Avocat, président du part Ridja, Azali Assoumani de la Crc et le clan Sambi. Pour ce qui est du Ridja, Said Larifou a toujours été aux avants poste pour combattre les injustices et apporter sa modeste contribution pour un « Comores meilleur ». Et il dispose d'un arsenal de guerre considérable en termes de militants et d'un staff aguerris depuis les différentes échéances qu'ont connues le pays. Fort d'une notoriété politique nationale et internationale et son ancrage dans les combats sociaux pour les comoriens et la défense des intérêts du pays font de lui le candidat le plus sérieux et le mieux placé pour remporter ces élections. Un autre avantage à son profit, c'est qu'il est un homme jeune et neuf sans oublier sa présence à deux reprises au second tour en 2007 pour la présidence de l'île de la Gde Comores et en 2010, en tant que colistier de Mohamed Fazul, lors des élections présidentielles de l'Union des Comores. Azali Assoumani Quant à la CRC, contrairement à ce qu'on imagine, elle est toujours bien implantée et dispose d'une armée militante toujours au garde à vous. Le colonel Azali Assoumani, fort de son mandat de 7 ans dispose encore d'un vivier électoral non négligeable. Ensuite c'est au tour de l'homme au turban, l'énigmatique Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Il reste encore populaire malgré son mandat mitigé de 5 ans à la tête du pays. De Moroni, Fomboni et Mutsamudu, il dispose encore de certains caciques prêts à en découdre pour revoir à nouveau leur « guide » à Beit-Salam. La question qui se pose, sera-t-il lui-même candidat ou colistier d'un de ses proches? La thèse d'Ali Nassor comme titulaire n'est qu'un simple fantasme car c'est un homme du passé et qui ne représente que l'ombre de lui-même. Ahmed Sambi soutiendra sûrement un homme dont il est sûr qu'il gagnera et non un perdant. Ce qui veut dire qu'il n'est pas exclu qu'il fasse une alliance de raison avec un candidat potentiellement mieux placé. L'avenir nous le dira.... Mlanaoidrou (comoresactualites.centerblog.net)
Depuis quelques temps, la ferveur de la présidentielle de 2016 enflamme l'archipel des Comores pour le futur locataire de Beit-Salam. Les dés sont lancés et sans aucune surprise, la rue a déjà désignée les hommes susceptibles de remporter la primaire. Quoi que l'on dise, le tiercé est bel et bien connu pour les observateurs politiques mais aussi du simple citoyen. Certains diront que les législatives reflèteront la physionomie du parti majoritaire mais on sait tous que l'absence des partis politiques structurés aux Comores et l'infidélité notoire des députés envers les partis qui les ont souvent choisis au hasard font que cette consultation est un non évènement d'autant plus que tout est mise en place pour une fraude massive au profit du clan du président en fonction, Ikililou Dhoinine. Mais un proche de Said Larifou nous confiait que « On ne jugera pas Ikililou Dhoinine en fonction du nombre de députés qu'il aurait engrangé mais plutôt de la transparence de celle-ci et il rajoute que c'est un test nécessaire avant 2016 car s'il y'a fraude, il faudra une présence militaire étrangère pour sécuriser cette compétition cruciale ». Deux hypothèses se posent : - Si les élections ne sont pas sécurisées, ce sera le candidat de Beit-Salam qui l'emportera à l'image d'Ikililou Dhoinine dont Sambi a porté au pouvoir et trahit dès le lendemain. Bien sûr qu'il y'a eu un contrat moral entre les deux hommes et l'homme de Djoiezi devait respecter ou refuser comme jadis, Caambi El Yachourthui a eu l'honnêteté intellectuelle de dire « Non » à Azali Assoumani. Mais cette attitude relève tout simplement de la traitrise. - Si les élections sont sécurisés comme en 2006 par le biais d'une force étrangère, il y'aura un combat juste et transparent mais dont les vainqueurs sont déjà connu à l'avance. Et le trio gagnant est selon les enquêtes de la rue menées sur le fondement des discussions sur les places publiques et les taxis brousses : Maître Said Larifou,avocat des deux mineurs accusés de viol va porter plainte. Said Larifou, Avocat, président du part Ridja, Azali Assoumani de la Crc et le clan Sambi. Pour ce qui est du Ridja, Said Larifou a toujours été aux avants poste pour combattre les injustices et apporter sa modeste contribution pour un « Comores meilleur ». Et il dispose d'un arsenal de guerre considérable en termes de militants et d'un staff aguerris depuis les différentes échéances qu'ont connues le pays. Fort d'une notoriété politique nationale et internationale et son ancrage dans les combats sociaux pour les comoriens et la défense des intérêts du pays font de lui le candidat le plus sérieux et le mieux placé pour remporter ces élections. Un autre avantage à son profit, c'est qu'il est un homme jeune et neuf sans oublier sa présence à deux reprises au second tour en 2007 pour la présidence de l'île de la Gde Comores et en 2010, en tant que colistier de Mohamed Fazul, lors des élections présidentielles de l'Union des Comores. Azali Assoumani Quant à la CRC, contrairement à ce qu'on imagine, elle est toujours bien implantée et dispose d'une armée militante toujours au garde à vous. Le colonel Azali Assoumani, fort de son mandat de 7 ans dispose encore d'un vivier électoral non négligeable. Ensuite c'est au tour de l'homme au turban, l'énigmatique Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Il reste encore populaire malgré son mandat mitigé de 5 ans à la tête du pays. De Moroni, Fomboni et Mutsamudu, il dispose encore de certains caciques prêts à en découdre pour revoir à nouveau leur « guide » à Beit-Salam. La question qui se pose, sera-t-il lui-même candidat ou colistier d'un de ses proches? La thèse d'Ali Nassor comme titulaire n'est qu'un simple fantasme car c'est un homme du passé et qui ne représente que l'ombre de lui-même. Ahmed Sambi soutiendra sûrement un homme dont il est sûr qu'il gagnera et non un perdant. Ce qui veut dire qu'il n'est pas exclu qu'il fasse une alliance de raison avec un candidat potentiellement mieux placé. L'avenir nous le dira.... Mlanaoidrou (comoresactualites.centerblog.net)
Depuis quelques temps, la ferveur de la présidentielle de 2016 enflamme l'archipel des Comores pour le futur locataire de Beit-Salam. Les dés sont lancés et sans aucune surprise, la rue a déjà désignée les hommes susceptibles de remporter la primaire. Quoi que l'on dise, le tiercé est bel et bien connu pour les observateurs politiques mais aussi du simple citoyen. Certains diront que les législatives reflèteront la physionomie du parti majoritaire mais on sait tous que l'absence des partis politiques structurés aux Comores et l'infidélité notoire des députés envers les partis qui les ont souvent choisis au hasard font que cette consultation est un non évènement d'autant plus que tout est mise en place pour une fraude massive au profit du clan du président en fonction, Ikililou Dhoinine. Mais un proche de Said Larifou nous confiait que « On ne jugera pas Ikililou Dhoinine en fonction du nombre de députés qu'il aurait engrangé mais plutôt de la transparence de celle-ci et il rajoute que c'est un test nécessaire avant 2016 car s'il y'a fraude, il faudra une présence militaire étrangère pour sécuriser cette compétition cruciale ». Deux hypothèses se posent : - Si les élections ne sont pas sécurisées, ce sera le candidat de Beit-Salam qui l'emportera à l'image d'Ikililou Dhoinine dont Sambi a porté au pouvoir et trahit dès le lendemain. Bien sûr qu'il y'a eu un contrat moral entre les deux hommes et l'homme de Djoiezi devait respecter ou refuser comme jadis, Caambi El Yachourthui a eu l'honnêteté intellectuelle de dire « Non » à Azali Assoumani. Mais cette attitude relève tout simplement de la traitrise. - Si les élections sont sécurisés comme en 2006 par le biais d'une force étrangère, il y'aura un combat juste et transparent mais dont les vainqueurs sont déjà connu à l'avance. Et le trio gagnant est selon les enquêtes de la rue menées sur le fondement des discussions sur les places publiques et les taxis brousses : Maître Said Larifou,avocat des deux mineurs accusés de viol va porter plainte. Said Larifou, Avocat, président du part Ridja, Azali Assoumani de la Crc et le clan Sambi. Pour ce qui est du Ridja, Said Larifou a toujours été aux avants poste pour combattre les injustices et apporter sa modeste contribution pour un « Comores meilleur ». Et il dispose d'un arsenal de guerre considérable en termes de militants et d'un staff aguerris depuis les différentes échéances qu'ont connues le pays. Fort d'une notoriété politique nationale et internationale et son ancrage dans les combats sociaux pour les comoriens et la défense des intérêts du pays font de lui le candidat le plus sérieux et le mieux placé pour remporter ces élections. Un autre avantage à son profit, c'est qu'il est un homme jeune et neuf sans oublier sa présence à deux reprises au second tour en 2007 pour la présidence de l'île de la Gde Comores et en 2010, en tant que colistier de Mohamed Fazul, lors des élections présidentielles de l'Union des Comores. Azali Assoumani Quant à la CRC, contrairement à ce qu'on imagine, elle est toujours bien implantée et dispose d'une armée militante toujours au garde à vous. Le colonel Azali Assoumani, fort de son mandat de 7 ans dispose encore d'un vivier électoral non négligeable. Ensuite c'est au tour de l'homme au turban, l'énigmatique Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Il reste encore populaire malgré son mandat mitigé de 5 ans à la tête du pays. De Moroni, Fomboni et Mutsamudu, il dispose encore de certains caciques prêts à en découdre pour revoir à nouveau leur « guide » à Beit-Salam. La question qui se pose, sera-t-il lui-même candidat ou colistier d'un de ses proches? La thèse d'Ali Nassor comme titulaire n'est qu'un simple fantasme car c'est un homme du passé et qui ne représente que l'ombre de lui-même. Ahmed Sambi soutiendra sûrement un homme dont il est sûr qu'il gagnera et non un perdant. Ce qui veut dire qu'il n'est pas exclu qu'il fasse une alliance de raison avec un candidat potentiellement mieux placé. L'avenir nous le dira.... Mlanaoidrou (comoresactualites.centerblog.net)
Depuis quelques temps, la ferveur de la présidentielle de 2016 enflamme l'archipel des Comores pour le futur locataire de Beit-Salam. Les dés sont lancés et sans aucune surprise, la rue a déjà désignée les hommes susceptibles de remporter la primaire. Quoi que l'on dise, le tiercé est bel et bien connu pour les observateurs politiques mais aussi du simple citoyen. Certains diront que les législatives reflèteront la physionomie du parti majoritaire mais on sait tous que l'absence des partis politiques structurés aux Comores et l'infidélité notoire des députés envers les partis qui les ont souvent choisis au hasard font que cette consultation est un non évènement d'autant plus que tout est mise en place pour une fraude massive au profit du clan du président en fonction, Ikililou Dhoinine. Mais un proche de Said Larifou nous confiait que « On ne jugera pas Ikililou Dhoinine en fonction du nombre de députés qu'il aurait engrangé mais plutôt de la transparence de celle-ci et il rajoute que c'est un test nécessaire avant 2016 car s'il y'a fraude, il faudra une présence militaire étrangère pour sécuriser cette compétition cruciale ». Deux hypothèses se posent : - Si les élections ne sont pas sécurisées, ce sera le candidat de Beit-Salam qui l'emportera à l'image d'Ikililou Dhoinine dont Sambi a porté au pouvoir et trahit dès le lendemain. Bien sûr qu'il y'a eu un contrat moral entre les deux hommes et l'homme de Djoiezi devait respecter ou refuser comme jadis, Caambi El Yachourthui a eu l'honnêteté intellectuelle de dire « Non » à Azali Assoumani. Mais cette attitude relève tout simplement de la traitrise. - Si les élections sont sécurisés comme en 2006 par le biais d'une force étrangère, il y'aura un combat juste et transparent mais dont les vainqueurs sont déjà connu à l'avance. Et le trio gagnant est selon les enquêtes de la rue menées sur le fondement des discussions sur les places publiques et les taxis brousses : Maître Said Larifou,avocat des deux mineurs accusés de viol va porter plainte. Said Larifou, Avocat, président du part Ridja, Azali Assoumani de la Crc et le clan Sambi. Pour ce qui est du Ridja, Said Larifou a toujours été aux avants poste pour combattre les injustices et apporter sa modeste contribution pour un « Comores meilleur ». Et il dispose d'un arsenal de guerre considérable en termes de militants et d'un staff aguerris depuis les différentes échéances qu'ont connues le pays. Fort d'une notoriété politique nationale et internationale et son ancrage dans les combats sociaux pour les comoriens et la défense des intérêts du pays font de lui le candidat le plus sérieux et le mieux placé pour remporter ces élections. Un autre avantage à son profit, c'est qu'il est un homme jeune et neuf sans oublier sa présence à deux reprises au second tour en 2007 pour la présidence de l'île de la Gde Comores et en 2010, en tant que colistier de Mohamed Fazul, lors des élections présidentielles de l'Union des Comores. Azali Assoumani Quant à la CRC, contrairement à ce qu'on imagine, elle est toujours bien implantée et dispose d'une armée militante toujours au garde à vous. Le colonel Azali Assoumani, fort de son mandat de 7 ans dispose encore d'un vivier électoral non négligeable. Ensuite c'est au tour de l'homme au turban, l'énigmatique Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Il reste encore populaire malgré son mandat mitigé de 5 ans à la tête du pays. De Moroni, Fomboni et Mutsamudu, il dispose encore de certains caciques prêts à en découdre pour revoir à nouveau leur « guide » à Beit-Salam. La question qui se pose, sera-t-il lui-même candidat ou colistier d'un de ses proches? La thèse d'Ali Nassor comme titulaire n'est qu'un simple fantasme car c'est un homme du passé et qui ne représente que l'ombre de lui-même. Ahmed Sambi soutiendra sûrement un homme dont il est sûr qu'il gagnera et non un perdant. Ce qui veut dire qu'il n'est pas exclu qu'il fasse une alliance de raison avec un candidat potentiellement mieux placé. L'avenir nous le dira.... Mlanaoidrou (comoresactualites.centerblog.net)
Depuis quelques temps, la ferveur de la présidentielle de 2016 enflamme l'archipel des Comores pour le futur locataire de Beit-Salam. Les dés sont lancés et sans aucune surprise, la rue a déjà désignée les hommes susceptibles de remporter la primaire. Quoi que l'on dise, le tiercé est bel et bien connu pour les observateurs politiques mais aussi du simple citoyen. Certains diront que les législatives reflèteront la physionomie du parti majoritaire mais on sait tous que l'absence des partis politiques structurés aux Comores et l'infidélité notoire des députés envers les partis qui les ont souvent choisis au hasard font que cette consultation est un non évènement d'autant plus que tout est mise en place pour une fraude massive au profit du clan du président en fonction, Ikililou Dhoinine. Mais un proche de Said Larifou nous confiait que « On ne jugera pas Ikililou Dhoinine en fonction du nombre de députés qu'il aurait engrangé mais plutôt de la transparence de celle-ci et il rajoute que c'est un test nécessaire avant 2016 car s'il y'a fraude, il faudra une présence militaire étrangère pour sécuriser cette compétition cruciale ». Deux hypothèses se posent : - Si les élections ne sont pas sécurisées, ce sera le candidat de Beit-Salam qui l'emportera à l'image d'Ikililou Dhoinine dont Sambi a porté au pouvoir et trahit dès le lendemain. Bien sûr qu'il y'a eu un contrat moral entre les deux hommes et l'homme de Djoiezi devait respecter ou refuser comme jadis, Caambi El Yachourthui a eu l'honnêteté intellectuelle de dire « Non » à Azali Assoumani. Mais cette attitude relève tout simplement de la traitrise. - Si les élections sont sécurisés comme en 2006 par le biais d'une force étrangère, il y'aura un combat juste et transparent mais dont les vainqueurs sont déjà connu à l'avance. Et le trio gagnant est selon les enquêtes de la rue menées sur le fondement des discussions sur les places publiques et les taxis brousses : Maître Said Larifou,avocat des deux mineurs accusés de viol va porter plainte. Said Larifou, Avocat, président du part Ridja, Azali Assoumani de la Crc et le clan Sambi. Pour ce qui est du Ridja, Said Larifou a toujours été aux avants poste pour combattre les injustices et apporter sa modeste contribution pour un « Comores meilleur ». Et il dispose d'un arsenal de guerre considérable en termes de militants et d'un staff aguerris depuis les différentes échéances qu'ont connues le pays. Fort d'une notoriété politique nationale et internationale et son ancrage dans les combats sociaux pour les comoriens et la défense des intérêts du pays font de lui le candidat le plus sérieux et le mieux placé pour remporter ces élections. Un autre avantage à son profit, c'est qu'il est un homme jeune et neuf sans oublier sa présence à deux reprises au second tour en 2007 pour la présidence de l'île de la Gde Comores et en 2010, en tant que colistier de Mohamed Fazul, lors des élections présidentielles de l'Union des Comores. Azali Assoumani Quant à la CRC, contrairement à ce qu'on imagine, elle est toujours bien implantée et dispose d'une armée militante toujours au garde à vous. Le colonel Azali Assoumani, fort de son mandat de 7 ans dispose encore d'un vivier électoral non négligeable. Ensuite c'est au tour de l'homme au turban, l'énigmatique Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Il reste encore populaire malgré son mandat mitigé de 5 ans à la tête du pays. De Moroni, Fomboni et Mutsamudu, il dispose encore de certains caciques prêts à en découdre pour revoir à nouveau leur « guide » à Beit-Salam. La question qui se pose, sera-t-il lui-même candidat ou colistier d'un de ses proches? La thèse d'Ali Nassor comme titulaire n'est qu'un simple fantasme car c'est un homme du passé et qui ne représente que l'ombre de lui-même. Ahmed Sambi soutiendra sûrement un homme dont il est sûr qu'il gagnera et non un perdant. Ce qui veut dire qu'il n'est pas exclu qu'il fasse une alliance de raison avec un candidat potentiellement mieux placé. L'avenir nous le dira.... Mlanaoidrou (comoresactualites.centerblog.net)
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